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Dans la Porte de la mer, je raconte comment fonctionne la dictature militaire algérienne...Je raconte comment un émir islamiste, violeur et assassin, devient un homme d'affaires « respectable »...Je raconte comment la presse est noyautée par les services secrets...Je raconte comment toutes les « élections » sont truquées depuis de longues années...J'y rappelle également que durant le printemps noir de Kabylie plus de 126 personnes ont été tuées par les gendarmes et les policiers : et ces assassins ne sont pas passés en justice, jusqu'à aujourd'hui...
Tous ceux qui participent, de près ou de loin, aux mascarades électorales algériennes font partie des assassins de la liberté et de la démocratie en donnant une forme de légitimité à la dictature militaire en vigueur depuis de longues années...
S'il y avait une classe politique en Algérie, elle exigerait le remplacement du chef de l'état qui ne parle pas, qui ne marche depuis déjà des années par un président élu...S'il y avait une classe politique en Algérie, elle ferait tout pour que les assassins des 126 personnes tuées durant le printemps noir de Kabylie passent en justice...